Foudros
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 | | Sujet: Mon premier Roman "L'archange" Jeu 18 Aoû 2011 - 1:10 | |
| Certains le savent peut être je suis en ce moment entrain d'écrire un roman fantastique. j'ai donc décidé de vous en faire profité en postant ici à intervalle régulier (toute les semaine je pense) Une partie de mon Roman dans l'ordre. Toutes critique et commentaires sont les bien venus. (J'ai plusieurs preuve que ceci est bien mon oeuvre je n'autorise personne à la reprendre même modifier, merci de votre compréhension à tous ^^). Voilà donc tout d'abord le prologue. Bonne lecture à tous: L'archange Prologue
La journée était bien entamée, mais le ciel resté néanmoins gris comme il l’était toujours au dessus de l’immense cité.
Dans les rues se propageait la nouvelle d’un grand renouveau, les espoirs d’une nouvelle ère étaient palpables, l’atmosphère déjà extrêmement chaud semblait même se réchauffer sous l’excitation des habitants….
A quelques kilomètres de là, sur le versant Est d’une immense colline noire que l’ont aurait pu croire de suie, se dressait un immense palais aux allures de forteresse. Un œil peut aviser l’aurait certainement confondu avec le sombre paysage, car l’immense bâtisse semblait avoir était extraite d’une mine de charbon, elle semblait plus noire encore que les plus sombres entrailles de la galaxie elle-même.
Dans les grands couloirs du Château on entendait des bruits rapprochés, c’étaient les bruits d’une course rapide. Une petite femme rondouillette marchait le plus rapidement possible dans les allées de marbre sombre, une bassine de métal emplit de ce qui semblait être de l’eau chaude entre les mains, la femme semblait pressée et stressée, ce qui n’arrangeait pas vraiment les fines rides commençant à se formées doucement au coin de ses yeux couleurs d’ambres. La femme s’arrêtât enfin devant une immense porte de pierre mat et plus sombre que la nuit, elle entra dans l’immense pièce et comme toujours fut étonnée de l’architecture qui y était représentée, en levant les yeux on pouvait voir gravé sur le plafond de basalte noir de grandes fresques d’argent bordant les bords des murs de basalte eux aussi comme le grand plafond culminant à presque quatre mètres de hauteur.
Malgré l’espace disponible la pièce était peu meublée, et la couleur anthracite des meubles se mêlant tel un camouflage sur les murs donnait l’impression que l’on entré dans un espace totalement vide. Seul un lit à baldaquin blanc, à la dimension tellement démesurée qu’il aurait pu accueillir une petite armée, semblait apporter une touche de lumière apaisante dans l’obscure chambre.
La femme s’avança vers le centre de la pièce, là ou se trouvait le lit quand elle fut stoppée par une voix.
- Quelle lenteur Samillia, le poids de l’âge ne vous rend vraiment pas plus utile, lança l’interpellant d’une voix grave et sarcastique.
La vieille servante se retourna et croisa le regard de son maître, elle abaissa immédiatement les yeux.
L’homme en question se trouvait adossé contre le mur à coté de la porte d’entré, il était grand et maigre dans son costume de soie aniline et son visage, malgré plusieurs millénaires d’existence afficher une petite trentaine d’années, ses trait était dur et froid ceux d’un homme assoiffé de pouvoir et nourris par la haine, des cheveux noirs corbeau lui descendaient à mit hauteur de la nuque et ont pouvait aisément dire que la seule et unique chose plus sombre et obscure que ses profonds yeux noirs était sans aucun doute son cœur, à supposé qu’un tel être puisse posséder un cœur.
- Mettez vous donc au travail, repris l’infâme personnage, la survis de mes enfants est ce qui nous permettra à tous la vengeance que nous attendons depuis si longtemps.
La vieille femme acquiesça sans oser regarder l’homme et ouvrit le baldaquin du lit, elle y découvrit allongée sur le matelas une ravissante jeune femme, et ravissante c’était peu dire comme toute celles de sont espèces la femme semblait avoir sur le sommet du crâne comme une auréole lumineuse crée par l’effet de ses long cheveux blond et la douceur de ses immenses yeux bleu suffisait à soigner toutes les peines de l’âme, la vieille servante eu le cœur déchiré en pensant au travail qui l’attendait, la femme sur le lit était sur le point d’accouchée, les deux garçons devaient naîtres et la mère ne devait pas s’en sortir, c’était le souhait du maître, il savait que la mère ne devait intervenir durant la vie de ses enfants, elle était bien trop douce et bonne et ce n’était pas la l’éducation que devaient recevoir les jumeaux.
C'est ce que voulait le maître et même si dans les autres mondes il était un paria, dans celui-ci ses ordres étaient incontestables, il avait tout pouvoir et sur toute chose.
La mère devait donc périr durant la naissance……..
Un cri déchirant parcouru l’ensemble de la bâtisse suivit de pleurs, deux pleurs bien distincts.
Dans son coin l’homme sourit, d’un sourire diabolique, dément.
Les choses se passaient enfin tel qu’il le désirait. A suivre: Chapitre un : Songes EDIT NUMERO UN: Voilà la suite avec le chapitre un que je poste en entier car c'est un chapitre plutot court... Chapitre premier :
Songes
Ce matin là, un jeune garçon arrivait tranquillement devant la salle de son prochain cours, en passant devant une vitre du lycée qui était essentiellement en verre, il observa son reflet si contradictoire avec les rêves qu’il ne cessait de faire. Il était plutôt grand, dans la moyenne des garçons de son âge, ses cheveux noir coupé plutôt cours et parsemé d’épis rebelles qu’il détestait plus que tout car ils l’empêchaient de se coiffer correctement, et ses yeux couleurs noisette qu’il avait en ce moment bien du mal à garder ouvert, toujours à cause de ce rêve qui l’empêchait de dormir normalement , c’était pourtant un garçon censé qui ne croyait pas en ce genre de choses, le fantastique et cetera ça n’existe pas point. Il arriva ou tous les autres élèves de sa classe attendaient déjà, lorsqu’il entendit qu’on l’appelait.
- Hey Chris !!!
En se retournant Chris s’aperçu que l’appelle provenait de Jonas. Jonas Langlo et Chris Flottel étaient d’excellents amis, les meilleurs qui soient, ils se connaissaient depuis la 6éme et avaient passés toutes leurs années collège et leur première année de lycée dans la même classe, Jonas était un garçon d’une tête de plus que son amis, ses cheveux châtain et court toujours impeccablement coiffés et bien habillé, ses yeux bleu foncé, bien ouverts derrière ses lunettes rectangulaires, ayant le don incroyable d’attirer certaine filles.
- Ben alors vieux on attend plus son best friend maintenant ? Demanda se dernier en arrivant au niveau de Chris et en lui serrant la main. Comment va sinon ? ajoutât-il
- Oh désolé Jo. J’ai un peu de mal ce matin je me suis levé du mauvais pied et je pensais être en retard, mon réveil ma encore lâché cette nuit, c’est le troisième en deux semaines, ça me gonfle…. En plus savoir qu’on commencés par Physique ce matin ça ma pas du tout aidé tu vois. Répondit Chris.
- Oh effectivement ta une de ces tronches on dirait un mort vivant, les cernes en plus, faut dormir la nuit c’est à ça que sa sert, vieux plaisantas Jonas. Non mais sérieusement vieux, reprit-il, c’est encore ton cauchemar qui te fou dans cet état foireux ?
- Ta tout compris, confirma l’autre, toujours le même rêve, toute les nuits depuis deux semaine. Je me retrouve dans un endroit bizarre, une grande pièce toute noire, le sol est en marbre noir, le plafond et les murs eux aussi sont noirs, je te jure on se croirait à BlackLand c’est hallucinant, enfin bref je me retrouve dans cette pièce sur une estrade à coté d’un grand type maigre en costume sombre et il est entrain de parlé à une grande assemblée…
Tous les types en face sont fringué de façon assez bizarre, on dirait qu’ils ont une sorte d’armure en écailles, mais des écailles énormes, aucun n’animal na ce genre d’écaille, vu la forme je dirais que ce sont des écailles de saurien mais….
- Hé ho l’intello. abrège, le coupa son ami, on à pas tout notre temps…
Chris jeta un regard noir à Jonas mais repris tout de même.
- Donc comme je disais je suis sur une estrade avec un grand type qui à des cheveux noirs jusqu’au milieu du cou, et le type en question est entrain de dire un truc du genre « Mes fidèles généraux, notre vengeance est proche, bientôt nos terres seront plus étendu et notre pouvoir pourra en être décuplé, notre prochain coup sera décisif et grâce à la puissance et à la crainte inspiré par mon fils, jamais les non déchus n’oseront nous empêcher de nous emparer de la terre » Là il me saisit le bras et le lève bien haut et toute la foule se met à l’acclamer, et là je me réveille.
- Ta raison mec c’est vraiment Zarbi ton histoire, repris Jonas qui avait était très attentif, tu dois être sacrément atteint pour imaginer des trucs pareil, ajoutât-il en donnant un coup de coude dans les cotes de son ami un grand sourire sur les lèvres.
- Espèce de traitre tu va voir…
A ce moment une fille brune se mit entre les deux garçons coupant cour à leur jérémiade, elle était de taille moyenne avec une silhouette assez élancée, les cheveux finement bouclés descendant le long de son dos, elle s’appelait Eveline Grile et formées avec nos deux acolytes un trio d’amis inséparables, depuis son arrivé en seconde ou les deux garçons l’avait tout de suite mise à l’aise dans cette environnement inconnu sans point de repère après son déménagement. Elle ne savait pas que Chris était fou d’elle-même si parfois elle se demandée gênée pourquoi il la regardait avec insistance, sans savoir que celui-ci était subjugué par la beauté et la profondeur de ses yeux d’un vert intense.
- Coucou les garçons, dit elle joyeusement un large sourire s’affichant sur ses lèvres, qu’est ce que vous vous racontiez de beau ?
- Et bien, commença Jonas, Chris était justement entrain de me dire que…..
Il fut coupé par un coup de pied discret de son ami qu’il reçut dans les tibias et étouffa un cri de douleur.
-Oui, continua Chris à sa place affichant un sourire peu convaincant, je lui disais « tient on dirait que Eve est encore en retard comme c’est étonnant, heureusement que notre prof de physique est lui aussi souvent en retard »inventât-il de peur de passer pour un imbécile devant la fille qui le rendait dingue. N’est ce pas Jo ?
-Si tu le dit, lui lança l’autre garçon, maintenant ferme ton clapet à mensonge et retourne toi v’là quiche.
Quiche était le professeur de Physique-Chimie de la classe de nos trois amis, en réalité il s’appelait Lorens Broueur, mais il passait son temps à raconter de petites anecdotes farfelues qui lui arrivait soit disant dans la vie de tout les jours et finissait avec la phrase :
« Non mais je vous jure que c’est vrai hein, je vous prend pas pour des quiches » et un jour en sortant de classe Jonas s’était exclamé « Ben dit donc il nous prend pas pour des quiches Lorens », tout le monde avait éclaté de rire et depuis ce temps avec le bouche à oreille le lycée entier avait donné le doux surnom de « Quiche Lorraine » au professeur de physique.
Le grand homme d’une quarantaine bien vécue habillé d’une chemise bleu et de son éternel et horrible nœud papillon Rouge à poids blanc ouvrit la porte de la salle de classe et invitât ses élèves à entrer , après que ceux-ci soit entraient et se soi installé à leur places respectives le professeur prit place à sont tour et nota comme à son habitude l’intitulé du cours tout en haut du tableau en le prononçant à haute voix.
- Le transfère d’onde, annonça le percepteur à haute voix, vous savez ça me rappelle un article que j’ai lu un jour dans un grand magazine scientifique qui avancé une théorie selon laquelle les jumeaux sont parfois capables de se transmettre des souvenir ou des pensés via un transfert d’ondes cérébral.
Et devant le regard perplexe de ses élèves il ajoutât :
- Si je vous jure que c’est vrai je ne vous prends pas pour des quiches.
Tous éclatèrent alors de rire devant les yeux interrogateur de leur professeur se demandant toujours pourquoi ses élèves se mettaient parfois à rire sans raison.
Et tous riait, tous sauf un élèves.
Chris semblait dans une intense réflexion, la théorie évoquée par son professeur venait de faire naître une idée saugrenue dans son esprit …..Et si …? Oh non se dit t’il en se moquant intérieurement de lui-même, c’est plus qu’impossible quel abrutit je peux être parfois. Pourtant ce rêve lui paraissait étrange et inhabituel, et il avait remarqué des différences avec lui et son double dans son cauchemar, l’autre avait des yeux bleu nuit, des cheveux un peu plus long et une légère cicatrice sur la joue gauche…
Soudain un autre professeur que Chris ne connaissait pas ouvrit la porte sans crier garde coupant cours au pensés du jeune garçon, l’homme semblait essoufflé et inquiet.
-Nom d’un chien, dit l’homme se tenant dans l’encadrement de la porte en reprenant doucement son souffle.
Allumé votre poste de télévision Lorens, reprit-il, c’est incroyable les Etat Unis et la Chine et un peu partout ailleurs, ils sont à feu et à sang on ne sait pas bien qui à fait ça ca ressemble à des attentats, mais aucune revendication et il parait que le massacre continu….
On nous dit que le monde est en guerre Quiche……euh Lorens je veux dire, bafouilla le professeur…………..Chapitre second:
L’invasion évasive
Le professeur de sciences physiques eu un regard étonné vers son confrère à l’annonce de son surnom qu’il ne connaissait guère, mais il ne chercha pas à comprendre, la situation semblait grave et il avait donc d’autres chats à fouettés.
Il se dirigea vers le fond de sa classe, ouvrit les portes d’un grand meuble de métal pour laisser voir un grand écran de télévision qu’il brancha à toutes allures et alluma précipitamment. L’écran n’afficha alors que de la neige, il saisit la télécommande sur le coté du meuble et zappa vers la chaine d’information nationale.
Il tomba sur des images de destructions, on pouvait voir la grande muraille de chine dévastée, sur le haut de l’écran un petit sigle indiqué que les images étaient retransmises en direct, on pouvait distinguer devant les décombres un petit homme asiatique tenant un micro, c’était un reporter dont la voix en mandarin était masquée par la traduction légèrement décalée faite de ses commentaires en bon français.
Toute la salle était attentive, devant l’effroyable spectacle qu’offrait le poste de télé.
- Je me trouve actuellement devant ce qui semble être ici le point de départ de l’étonnante et effroyable catastrophe, annoncés les hauts parleurs de l’écran, en effet les quelques témoins présents ici à cette heure tardive nous on déclarés qu’ils avaient était éblouis soudainement par une éclatante sphère lumineuse s’étant d’un coup mise à flotter à l’endroit exacte ou se trouve désormais la brèche du mur. Cette sphère aurait ensuite disparu laissant place à un étrange groupe d’homme vêtu de façon suspecte, ceux-ci sont à l’heure actuelle les principaux suspect des enquêteur du monde entier, le groupe se serait ensuite dirigé vers le centre de la ville la plus proche en détruisant tout sur leur passage, l’état dans lequel se trouve les infrastructures touchés nous laisse penser que les auteurs présumé utiliserais des explosifs…
L’image du présentateur laissa ensuite place à celle d’un plateau télé sur lequel la jolie présentatrice blonde pris la parole.
- Il semblerait que les criminels une fois arrivé dans le centre ville se seraient rendus dans l’endroit le plus fréquenté pour se faire remarquer et ont pris la parole pour prononcer ces simples mots : « bientôt nous serons là, soyez prêt vermine se sera bien plus drôle si vous résistez », ils auraient ensuite disparus, ils se seraient semble t’il juste évaporés…Le même phénomène se serait ensuite produits avec l’apparition d’une autre sphère dans le désert du Nevada, lu la présentatrice sur sa fiche, ensuite au milieu d’une ville d’Espagne et le phénomène se produit un peu partout dans le monde à intervalle fréquents laissant sur son passage des dizaines de victimes et des dégâts considérable.
La Présentatrice se tourna ensuite vers un grand homme blond en costume assit face à elle.
- Georges Durant bonsoir vous êtes notre spécialiste en conflits mondiaux, que pensez vous des événements s’étant produits et se produisant encore aux quatre coins de notre planète ? Lui demanda l’élégante femme.
- Bonsoir Lila, répondit l’homme, et bien pour commencer je ne pense pas comme la plupart de mes confrères qui penches pour des actes terroristes, cela me semble totalement incongru du fait que les intervenants ne laisse pas leur nom pour revendiquer les actes qu’ils laissent derrière eux, de plus un groupuscule terroriste aurait donné une raison et des demande à l’issu de leur passage or ce n’est pas le cas ici. Néanmoins je trouve leur annonce plutôt bizarre le fait qu’ils délivrent cette phrase un peu partout dans le monde dans des endroits fréquentés ma fait penser que ce message s’adresse à la population entière néanmoins ce n’est pas très logique car ils doivent forcément avoir des personnes qu’ils ne veulent pas inclure dans ces pseudo menaces le reste de leur groupe par exemple. Ces gens se croient aussi au dessus de tout en utilisant le terme de vermines ils rabaissent leurs victimes à un rang plus qu’inférieur se lavant ainsi de toute fautes, presque comme si ils se débarrassaient d’insectes. Le plus bizarre reste encore que selon les descriptions donnée par tout les témoins ce serai à chaque fois les même personnes qui interviennent or on sait qu’ils arrivent sur un endroit à peine quelques minutes après avoir disparu du précédent, c’est donc Physiquement impossible de passer de Beijing à Las Vegas en quelques minutes montre en main. Je pense donc que plusieurs groupe s’habille de la même façon un peu partout afin de nous donner cette illusion qu’ils sont un unique groupe, c’est donc en mon sens quelque chose de prévue et organiser et la police et tout autre autorité semble impuissante et n’arrive sur les lieu qu’après coup, bien trop tard cela me……
- Une minute s’il vous plaît, le dérangea la jeune présentatrice.
Puis elle se tourna vers l’écran et la caméra se recadra pour ne plus laisser voir que Lila Rosentale la présentatrice du journal qui reprit la parole.
- On m’informe à l’instant que l’un de nos reporter présent à Cuba nous envoie en direct des images du groupe terroriste qui progresse en ce moment même vers le centre de l’île, nous espérons pouvoir recevoir les images afin de vous les faire parvenir le plus rapidement possible……La connexion est en cours, finit-elle.
L’écran s’assombrit alors ne laissant plus voir que quelques grésillement et un bruit semblable à celui que fait une radio à l’approche d’ondes téléphoniques.
Après quelques secondes pendant lesquelles le calme et l’effroi régnèrent dans la salle l’écran prit quelques couleurs. On pouvait apercevoir des ombres qui commençaient à se former sur l’image apparemment ralentit par la distance de connexion, les couleurs semblaient arriver une par une en prenant toute le temps d’apparaitre puis finalement une image bien nette finie par apparaître sur la fenêtre de verre de la télévision…
Tout le monde regardés attentifs les images qui défilaient à la vitesse de vingt quatre par seconde et sur lesquelles on voyait au loin un groupe de trois quatre hommes qui avançaient et des qu’ils étaient à plus d’un mètre d’un quelconque objet, qu’il soit minuscule ou énorme celui-ci se retrouvé en miette comme pulvérisé par une énergie malsaine flottant dans l’air.
Le reporter semblait ne plus avoir de caméraman, sans doute effrayé et partit dès qu’il avait aperçu le groupe redouté à cette heure sur la planète entière, le reporter avait donc récupéré la caméra et semblait suivre la piste des « terroristes » en rampant et en chuchotant pour ne pas se faire remarquer.
-Voilà donc un groupe appartenant aux hommes qui mettent le monde entier à sac, chuchota la télévision, je vais tenter de m’approcher au plus près pour apercevoir si possible leur visages.
Comme promit la caméra s’approcha un peu plus des hommes avançant toujours à un rythme plutôt lent, saccageant tout sur leur passage.
L’un des hommes se retourna alors vers la caméra et on pus le voir très distinctement.
A cette vision Chris sentit sont cœur bondir violement dans le fond de sa poitrine comme pour échapper à la stupéfaction ressentit soudainement par le jeune homme, de l’extérieur cette stupéfaction, la plus extrême jamais ressentit par le garçon, était facilement visible, Chris avait soudain hoqueté comme assailli par les émotions et fixai désormais l’homme présenté à l’écran ses yeux en amande grands ouverts la bouche ne se refermant plus, il regardait l’écran comme si il eu s’agit d’un tas d’or assez énorme pour régler les conflits la misère et la faim dans le monde pour plusieurs siècles.
Et quiconque aurait vu les choses de la façon ou les voyait aurait sans aucun doute une la même réaction, ou une autre très similaire.
En effet ce n’était pas flagrant de dos mais de face Chris ne voyait plus que cela, ça n’avait rien avoir avec l’homme en lui-même, plutôt grand de long cheveux lisse et châtain foncés coiffés en catogan et un visage fin sur lequel reposé un paire d’yeux couleur marron un nez fin et pointu et une fine moustache, en somme un visage qui semblait plutôt banale.
Non ce qui frappait Chris c’était la tenue que portait cet homme, il était vêtu d’un pantalon de cuir rouge, une couleur de cuir qui n’avait pas son pareil, à la taille une ceinture noire sur laquelle était attachée plusieurs kilos d’armes en tout genre qui semblait prête à céder sous le poids des métaux qui constituaient les armes en question.
Sur le torse l’homme semblait porté ce qui ressemblait être un tee-shirt noir au dessus duquel il avait encore une étonnante veste, ressemblant d’avantage à une armure, celle-ci ne posséder pas de manche et la matière la composant était plutôt inhabituelle, elle semblait taillée dans la peau d’un reptile, mais le reptile en question devait être énorme car chaque écaille avait aux bas mots la même dimension qu’une feuille de papier format A4.
Leurs tons aux multiples nuances et teintes brunes semblaient brillés de mille feux sous le soleil de Cuba, créant sur le vêtement de magnifiques reflets aux couleurs de l’arc-en-ciel tels que l’on pouvait en voir sur la nacre d’une perle.
Désormais c’était flagrant, cette tenue était en tout point identique à celles qu’il avait vu pendant quinze jours toute les nuits sans aucune exception, celles que portaient tout ceux ou presque qui étaient dans ses rêves. Et Chris aurait pu penser que cela n’était qu’une simple coïncidence, même si celle-ci était un peu difficile à avaler c’était quand même plus plausible que la thèse d’un quelconque lien avec ses songes… Pourtant au plus profond de sa conscience il le savait c’était comme si il le savait depuis toujours, ces fameux cauchemars n’étaient pas de simple rêves, c’était bel et bien réel.
Dans la salle seul Jonas voisin de Chris c’était aperçu du soudain mal être de son ami, alors que tout le monde avait l’attention fixé sur le poste de télévision au fond de la classe Chris, au premier rang juste devant le bureau du professeur, c’était soudain figeait et restait désormais bouche bée devant l’écran, ce n’était pas normal Jonas connaissais son ami, il était rationnel et logique, rien ne pouvait le surprendre, son esprit était vif et il trouvait toujours réponse logique à tout.
Rien n’aurait pu le mettre dans cet état, pas même un groupe de terroriste décidé à mettre la planète en miette.
-Hey Chris, ça va ? S’inquiétât son ami.
Mais Chris ne répondit pas, il réagit de façon bizarre, il se mît à fixer la paillasse qui se trouvait devant lui.
En réalité le jeune homme était incapable de répondre, une violente douleur avait soudainement assailli son crâne, il se tint la tête entre les mains et ferma les yeux se concentrant pour dissiper cet horrible mal de tête, dans toute sa vie jamais il n’avait ressentit telle douleur. Il avait l’impression que son cerveau palpitait à une vitesse hallucinante dans sa boîte crânienne comme si des connexions oubliés tenter de remonter à la surface de celui-ci, Chris avait l’impression soudaine d’avoir oublié quelque chose d’important, quelque chose de réellement important, bien plus que d’avoir oublié d’éteindre le gaz bien pire encore ça semblait plus important que d’avoir oublié de mettre des sous-vêtements…. La douleur s’intensifia et l’étudiant tomba à genoux sur le sol en poussant un hurlement de douleur digne des plus grands films hollywoodiens, à la différence prêt que lui ne simulait pas. Toutes les personnes présentes dans la salle sursautèrent surprise par ce bruit soudain derrière eux alors qu’ils étaient si attentifs aux informations.
Tous donc se retournèrent et virent Chris au sol hurlant à plein poumon, saignant abondamment du nez son amis au dessus de lui semblait paniqué et ne savait pas quoi faire.
Le professeur couru vers Chris et ordonna qu’on aille chercher l’infirmière de l’établissement, et à ce moment Chris au pris d’effort considérables parvint à se taire et à ramener son activités cérébrale à la normale, il se trouvait désormais allongé sur le carrelage à damier jaune et bleu essouffler comme si il venait de terminer un marathon et attirant l’attention de tous aux alentours. La tension et l’inquiétude baissèrent d’un cran lorsque le jeune homme se tut. De la table voisine de celle de Chris et Jonas ,Eveline déléguée de classe mais surtout parce qu’elle était inquiète pour son ami se leva et partit à toute vitesse dans les couloirs du lycée en direction de l’infirmerie.
Tout le monde avait désormais le regard fixé sur le petit brun recroquevillé sur le sol à l’avant de la pièce, et les deux professeurs se tenaient au dessus de lui s’assurant que son état ne reprenait pas un mauvais tournant, personne n’osé lui adressé la parole de peur de causer une nouvelle crise de hurlement.
Si les élèves n’avaient pas pris peur et ne s’étaient inquiétés pour leur camarade ils auraient certainement continué à fixer l’écran de télévision, et ils auraient certainement vu le changement radical du groupe d’homme meurtrier au moment exact ou la crise de Chris avait commencée.
Ils auraient vus que ceux-ci avaient soudainement stoppés leur avancement et levé la tête vers le ciel comme un chien se met à l’arrêt à l’affut d’une proie proche. Comme si ils venaient de ressentir quelque chose à l’aide d’un sixième sens. Toujours si ils avaient étaient attentifs les élèves aurait vu qu’après cela les hommes c’étaient brièvement concertés et après une courte discussion ils avaient disparus, avant même d’avoir atteint la ville et délivrés leur message comme à leur habitude. Et peut être auraient-ils ensuite pu faire le rapprochement avec les événements qui allaient suivre…………….Peut être !!!!!
Au même moment à Cuba Gaharte, un homme sombre était fier de lui, le maître ne regretterai pas de lui avoir confié un groupe et une mission si importante, il était loin d’être un grand guerrier, ses trois soldats l’étaient encore moins que lui.
Néanmoins la puissance importait peu sur la planète Terre, les êtres humains étaient si faibles qu’un nouveau né aurait écrasé leurs plus grands soldats d’un simple geste de la main. Le sombre personnage continua à avancé dans la havane et passa une main dans ses cheveux coiffés en catogan quand il sentit une présence derrière lui, visiblement ces Humains étaient réellement pathétique et peu discret, si celui-ci pensé pouvoir suivre le groupe de démon sans se faire repéré il se mettait le doigt dans l’œil jusqu’au coude.
Gaharte vit que ses hommes avaient eux aussi sentit la vermine qui rampait dans leur dos et leur fit discrètement signe de ne faire comme si de rien n’était, après tout leur mission était de prévenir la race humaine de l’invasion prochaine et sans laisser quelque témoins de leur passage leurs interventions seraient inutiles. Le groupe était déjà passer par les plus grand pays de cette minuscule planète en commençant par la chine et les états unis et comme on les en avait prévenus la race humaine n’avait pus que subir leurs assaut, enfin assaut c’était un grand mot, ils n’attaquaient pas il passé juste distribuer un message. Et même dans ces conditions les êtres soit disant évolués de ce globe n’avait ni le temps ni la force de résister, ils étaient si faible les éliminés étaient un délice pour ceux de la même race que Gaharte, la souffrance dans leur yeux le désespoir de leurs supplications, c’était tellement ………….. délectable.
Gaharte ne pu s’empêcher de se retourner pour voir à quoi ressemblait l’insecte qui le suivait à la trace, il vit alors à plusieurs mètre de là un petit homme allongé dans les hautes herbe et qui se croyait invisible, son visage était caché derrière un étrange boitier noir sur l’avant duquel se trouvait une petite vitre, il fixa celle-ci quelques secondes quand tout à coup il ressentit quelque chose qu’il n’aurait du ressentir sur cette planète c’était totalement impossible. Un bref coup d’œil à son équipe et il se rendit vite compte qu’ils avaient eux aussi ressentit la même chose.
Une puissante aura venait d’apparaître soudainement sur la surface du globe, une aura comme aucun n’être humain, plus faible qu’un vers slurys à la naissance, n’aurait pu posséder. Seul un Démon ou un Ange pouvait délivrer une telle force, et aucun démon à part ce groupe ne se trouvait actuellement sur cette misérable planète.
En réalité la puissance dégagée était extrêmement puissante, d’une puissance telle qu’elle égalé presque celle du prince des enfers fils de Satan que le peuple Démon avait eu l’occasion de jaugé lors de ses apparitions toujours masqué, pour la simple et bonne raison que son père souhaitait gardé son visage couvert afin de gardé un effet de surprise en l’intégrant dans son armée sans que même ses hommes ne sache qui il était. Seuls les généraux avaient pu voir son visage et Gaharte n’était pas de ces grands stratèges.
Cette puissance était anormalement élevée mais le chef de la petite troupe mit cela sur le dos de leurs sens de détections qui étaient faussés par la température très basse de cette planète ce ne devait être qu’un simple ange en poste sur la Terre, enfin un ennemi potable après tellement de temps. Après une légère mise au point avec son groupe les quatre hommes décidèrent de se rendre à l’endroit d’où provenait cette aura, elle arrivait tout droit d’une petite ville dans un pays d’Europe. Après quelques incantations ils disparurent, se dirigeants donc vers le nord de la France. à suivre chapitre trois : rencontre décisive
Dernière édition par Foudros le Mer 31 Aoû 2011 - 1:18, édité 2 fois | |
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